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jeveuxgrandir - Page 5

  • Pourquoi la plupart de nos journalistes sont-ils à côté de la plaque ?

    En France, les journalistes télévision et radio sont souvent à côté de la plaque ? Il se croient dans un jeu de télé réalité... leurs questions n'ont souvent aucun intérêt, et cela, depuis de nombreuses années. Ils cherchent à faire du sensationnel... ou sont réduit à faire de la promotion. Les angles de traitement sont pauvres. Ils oublient qu'ils sont des médiateurs... que c'est les gens qui devraient pouvoir s'exprimer... Souvent, j'observe qu'ils n'écoutent pas les réponses données, ils suivent leur idée, leur conducteur, leur pensée. Ils sont dans le journalistiquement correct. Et comme les sociétés organisent la compétition entre eux, alors, ils ou elles jouent à jeu sans fin pour se faire valoir.

    Trop souvent, ils jugent, imposent leur opinion, voire, pire posent des questions pour essayer d'avoir un scoop creux... par exemple, faire dire au Président qu'il va se représenter n'est pas une info... ils devraient savoir qu'on n'est pas des moutons sans cervelle ! Ils sont trop souvent dans une posture d'animateur dévoyé. En effet, dans de nombreux journaux télévisés, on assiste à des parlottes sans aucun sens ! Regardez ceux de nos principales chaînes. Idem pour les radios... Autre exemple : lors des révolutions en Tunisie ou en Egypte : nous avons eu très peu d'informations, par contre beaucoup d'émissions (parlottes) pour parler sans savoir... Où sont les journalistes qui connaissent le terrain, le pays... qui ont du vécu sur place... ? Car, connaissant ces pays, c'est fou le décalage que j'ai pu constater. D'autant que nombre de nos journalistes voudraient leur imposer notre pensée : notre soi-disant démocratie. Mais dans ces pays, leurs histoires, leurs cultures, leurs modes de pensée sont bien différents. Alors messieurs et mesdames les journalistes : "laissez les vivre" et contentez-vous de faire des reportages d'observation, de leur laisser la parole, selon leur logique à eux... Tant que cela est encore possible.

  • La voiture électrique, déjà en 98...

    Je me souviens avoir produit et réalisé des émissions de TV (Télé Toulouse) sur la voiture électrique en 1997 et 1998, en association avec EDF. Avec de vraies voitures électriques, des voitures en chair et en os, de nos 2 grandes marques françaises. Aujourd'hui, en 2010, les journalistes du Mondial de l'auto - sous la pression des constructeurs de toutes nationalités - semblent découvrir ces véhicules dont les performances annoncées ne sont guère différentes de celles de 98 (c'était l'année du Mondial de foot en France). Vous vous souvenez de la clio électrique, d'alors ? ...

    Alors que faut-il en penser ? est-ce enfin la vraie révolution technique tant attendue par les fans de l'électricité ? ou la révolution des usages de la voiture ?  on parle de location... à la fin du siècle dernier, on en parlait aussi... Et, aujourd'hui sommes-nous prêts à acheter des véhicules électriques pour des (seuls) usages urbains ? sommes-nous plus nombreux qu'en 98 à s'emparer de ces nouveaux venus ... pour 500 euros par mois... en location longue durée ?  est-ce une justification de design qui emportera la décision ? Le marché est-il mûr pour démarrer dès cette année ? les consommateurs de 2010 sont-ils différents ceux de 1998 ? ou alors, une révolution technique liée aux modes de transport a t'elle besoin de 30 ans pour faire le pas ? Amis bloggeurs, j'aimerais bien avoir votre avis, faites part de vos commentaires.

  • le client=pigeon

    Je n'aime pas. Je n'aime pas du tout. Etre pris pour un pigeon ou un c.., oui, je ne suis pas le seul, vous allez dire. Mais l'histoire que je vais vous raconter est assez cocace. Si on peut dire. Chargé d'acheter un gâteau pour 5 personnes. Je me rends dans une pâtisserie. Rien que son nom : la Panière Gourmande à Toulouse, me laissait présager que du bon. Mal m'en a pris d'entrer dans ce lieu où sucres et levain font soi-disant ménage. Mais, avant d'entrer j'ai la précaution de vérifier combien j'ai en poche. Oui, en effet, j'ai rarement des sous, comme on dit. Et, ayant fouillé mes poches, j'observe que je n'ai que 15,45E. Oui, c'est important que je vous dise cela. Vous allez comprendre. Entré, je lance "bonjour"... je fais la queue... ça c'est normal, et..., j'en profite pour zieuter les différents gâteaux disponibles dans la vitrine. Je note que je peux choisir parmi deux catégories de prix : l'une à 13,80, l'autre à 15,80E. Et comme je vous ai dit je n'ai que 15,45 dans mes poches. Alors, lorsque la jeune demoiselle - arnaché de son beau tablier siglé la panière gourmande - veille à me servir, je lui demande un framboisier qui paraît alléchant, affiché à 13,80... car je sais que je peux le payer... Et là : surprise ! Tout de go, elle récupère une pancarte, dans l'arrière de sa vitrine, sur laquelle il y a un prix marqué de 15,80 et me dit "ce framboisier c'est 15,80". Je lui dit que ce n'est pas le prix qu'il y avait d'indiqué sur le gâteau. Elle ne se démonte pas, elle me dit : "oui, mais je n'ai pas eu le temps de changer le prix ce matin"... interloqué, je tente de lui dire que j'aimerai payer le prix affiché - car comme vous le savez - je n'ai que 15,45E ; rien à faire - elle appelle sa chef - même discours. Alors tout penaud, je lui dit que j'avais choisi ce gâteau car je n'ai que 15,45... pensant que j'obtiendrai une faveur de 0,35E. Mais, non, rien... je suis reparti - sans gâteau - furieux... Ah si la DGCRF savait...

  • avez-vous mesuré votre e-réputation ?

    Faceboook, google, yahoo, viadeo, twitter, blogs, forums... enregistrent nos traces, nos petits cailloux, nos histoires. Les notres, mais aussi, ceux des autres... qui parlent de nous, montrent nos aventures ou autres frasques. Bien sûr tout cela est vrai pour les marques, les petites et les grandes. Vous imaginez ? ça fait froid dans le dos. Ah! le monde change. Alors, si vous voulez tout savoir sur vous, il est temps d'aller voir ce qui se dit... découvertes, surprises, déconvenues... a chacun son histoire. Pour y voir clair de nombreux outils gratuits existent : how sociable, social mention, social meter. Votre popularité "sociale" apparaît au bout de quelques secondes. Cela dit, y a un risque. Pour les homonymes. Espérons que les DRH ne vont pas en faire un outil de validation de recrutement.

  • les réseaux sociaux : nouvelle mode ou besoin naturel caché

    Facebook : qui n'a pas ce mot à la bouche en ce moment. Oui, certes, pas tout le monde. Mais beaucoup de gens, jeunes et moins jeunes, marques et démarques, enseignes et autres ! Y a eu l'heure de gloire de Second Life, maintenant c'est semble t-il Facebook, tiré par les jeunes qui avance à grands pas. Y a plein : viadeo, digg, twitter, linkedin, etc.

    Mais diable (j'ai dit "diable", parbleu !), pour moi, les réseaux sociaux existent depuis des millénaires. Les sociétés ne seraient-elles pas organisées en réseaux ? depuis qu'elles existent. Les religions ne sont-elles pas des lieux de réseaux ? Et les outils d'échanges et de partage ne sont ils pas aussi variés que de sociétés existent sur terre. Voire dans l'espace ! Les astronautes ne forment-ils pas des réseaux fermés ? Tiens la monnaie : n'est-ce pas un outil d'échange ? de partage ? Bof... Ah, oui, mais voilà ... derrière échange ou partage se cache : des motivations. Lesquelles ? Mystère. "Qu'est-ce que je fais sur Facebook ?" Attention, je ne parle pas pour moi. Je n'y suis pas. Mais au nom de tout ceux qui y sont. "Qu'est-ce que je cherche  ? des amis ?" quel type d'amitié ? réelle, passagère, plus sérieuse, libertine,... ? Est-ce un nouvel outil pour draguer ? pour influencer ? pour...  ? et pourtant Facebook - annuaire de collègues d'université, au départ, n'est-il pas un moyen de rechercher son graal ? Pourtant avant lui, d'autres réseaux se sont créés ; tiens par exemple Copains d'avant, y a 10 ans... sur la fibre de la nostalgie. C'est bien humain ça, non ?... Meetic, zamies... Alors l'internet, que fait-il là dedans ? Il démultiplie, il élargit la sphère des contacts,... il facilite ou il décomplexe (plus facile de parler derrière son ordinateur qu'en face à face !) - c'est ce que je fais d'ailleurs via ce billet d'humeur - Oui, mais voilà, avec les réseaux informatisés, y a quelques dangers. Savez-vous par exemple que vos données personnelles risquent d'apparaître au grand jour dès lors que l'on manipule quelques outils de e-reputation?... allez voir où vous êtes médiatisé avec howsociable.com... et revenez m'en parler !