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  • taxer à 75% ou motiver à dépenser en France

    Selon moi, il y a deux façons de prendre aux riches citoyens : prendre en confisquant, façon punition par l'impôt direct, ou prendre en encourageant à vivre son propre plaisir, sa propre vie en toute liberté, façon motiver à consommer... en France.

    Pourquoi ne pas imaginer que les plus riches (plus de 1million de revenu par an selon M. Hollande) qui rapatrient leur consommation (pour une part inévitablement faite à l'étranger ou constituée d'achats de produits importés) en France, obtiennent des bonus sur leurs impôts sur le revenu. Plus ils consomment en France, plus ils gagnent des bons de réduction... Car nous savons bien qu'ils consomment une grande partie de leurs revenus à l'extérieur...

    Par exemple, s'ils achètent des biens immobiliers en France, des voitures françaises ou des voitures fabriquées en France (exemple Toyota), des séjours de vacances en France, des billets d'avions Air France, des meubles ou objets de décoration fabriqués en France avec certificats... de la porcelaine de Limoges... des fruits et légumes à des AMAP françaises... pourquoi n'obtiendraient pas des bonus ?

    Bien sûr, on parlerait de niche fiscale ou de privilèges... Mais en calculant bien les seuils des bonus, le bilan économique serait forcément meilleur ; en effet, ces riches resteraient en France (donc plus de consommation en France), consommeraient plus en France (donc plus de TVA, plus de taxes indirectes) et stimuleraient la production de biens et services français (plus d'emplois, plus de charges payées en France...).

    D'autant que dans le cas contraire, s'ils s'envont, il n'y a plus de recettes pour l'état à tous les niveaux de la chaîne... Donc, il y a bien deux manières de prendre : par la confisquation péremptoire (s'ils restent... Mumm, j'y crois pas beaucoup) ou par la motivation positive. Ah... j'ai dû rêver en fait...

  • La voiture électrique, déjà en 98...

    Je me souviens avoir produit et réalisé des émissions de TV (Télé Toulouse) sur la voiture électrique en 1997 et 1998, en association avec EDF. Avec de vraies voitures électriques, des voitures en chair et en os, de nos 2 grandes marques françaises. Aujourd'hui, en 2010, les journalistes du Mondial de l'auto - sous la pression des constructeurs de toutes nationalités - semblent découvrir ces véhicules dont les performances annoncées ne sont guère différentes de celles de 98 (c'était l'année du Mondial de foot en France). Vous vous souvenez de la clio électrique, d'alors ? ...

    Alors que faut-il en penser ? est-ce enfin la vraie révolution technique tant attendue par les fans de l'électricité ? ou la révolution des usages de la voiture ?  on parle de location... à la fin du siècle dernier, on en parlait aussi... Et, aujourd'hui sommes-nous prêts à acheter des véhicules électriques pour des (seuls) usages urbains ? sommes-nous plus nombreux qu'en 98 à s'emparer de ces nouveaux venus ... pour 500 euros par mois... en location longue durée ?  est-ce une justification de design qui emportera la décision ? Le marché est-il mûr pour démarrer dès cette année ? les consommateurs de 2010 sont-ils différents ceux de 1998 ? ou alors, une révolution technique liée aux modes de transport a t'elle besoin de 30 ans pour faire le pas ? Amis bloggeurs, j'aimerais bien avoir votre avis, faites part de vos commentaires.

  • le client=pigeon

    Je n'aime pas. Je n'aime pas du tout. Etre pris pour un pigeon ou un c.., oui, je ne suis pas le seul, vous allez dire. Mais l'histoire que je vais vous raconter est assez cocace. Si on peut dire. Chargé d'acheter un gâteau pour 5 personnes. Je me rends dans une pâtisserie. Rien que son nom : la Panière Gourmande à Toulouse, me laissait présager que du bon. Mal m'en a pris d'entrer dans ce lieu où sucres et levain font soi-disant ménage. Mais, avant d'entrer j'ai la précaution de vérifier combien j'ai en poche. Oui, en effet, j'ai rarement des sous, comme on dit. Et, ayant fouillé mes poches, j'observe que je n'ai que 15,45E. Oui, c'est important que je vous dise cela. Vous allez comprendre. Entré, je lance "bonjour"... je fais la queue... ça c'est normal, et..., j'en profite pour zieuter les différents gâteaux disponibles dans la vitrine. Je note que je peux choisir parmi deux catégories de prix : l'une à 13,80, l'autre à 15,80E. Et comme je vous ai dit je n'ai que 15,45 dans mes poches. Alors, lorsque la jeune demoiselle - arnaché de son beau tablier siglé la panière gourmande - veille à me servir, je lui demande un framboisier qui paraît alléchant, affiché à 13,80... car je sais que je peux le payer... Et là : surprise ! Tout de go, elle récupère une pancarte, dans l'arrière de sa vitrine, sur laquelle il y a un prix marqué de 15,80 et me dit "ce framboisier c'est 15,80". Je lui dit que ce n'est pas le prix qu'il y avait d'indiqué sur le gâteau. Elle ne se démonte pas, elle me dit : "oui, mais je n'ai pas eu le temps de changer le prix ce matin"... interloqué, je tente de lui dire que j'aimerai payer le prix affiché - car comme vous le savez - je n'ai que 15,45E ; rien à faire - elle appelle sa chef - même discours. Alors tout penaud, je lui dit que j'avais choisi ce gâteau car je n'ai que 15,45... pensant que j'obtiendrai une faveur de 0,35E. Mais, non, rien... je suis reparti - sans gâteau - furieux... Ah si la DGCRF savait...